
Les fournisseurs du commissariat de l’air ont recouru à ces pratiques publicitaires dans certaines revues militaires, même si les approvisionnements étaient régis par le code des marchés publics. Davantage pour l’image que dans une optique réellement commerciale.
La revue Forces aériennes françaises (diffusée de 1946 à 1971) a accueilli de telles publicités, principalement dans le domaine de l’habillement. La plupart de ces sociétés (A la Belle jardinière, Henry Thiéry, ) ont disparu aujourd’hui.
Jacques Primault