Campement : Ce qu’un commissaire des guerres est obligé de faire en cette occasion
Cazernes (sic) : Le commissaire doit y faire faire les réparations
Campement : Ce qu’un commissaire des guerres est obligé de faire en cette occasion
Cazernes (sic) : Le commissaire doit y faire faire les réparations
- Jacques François (ECA 83 CRG2 2S) nous informe que l'Est Républicain a diffusé une série d'articles cet été sur les "trésors" en Lorraine, dont un citant le commissaire général (2S) Henri Mulotte (ECA 60), alors commissaire de la BA 116 Luxeuil (voir aussi notre article de décembre 2015 « Un trésor pour le commissaire » - inscrire « trésor » dans le moteur de recherche). Fait du hasard, à noter que le commissaire général Mulotte a exercé par la suite la fonction de "Délégué du patrimoine de l'armée de l'air" de 1994 à 2001.
- Cyril Villerbu ( ECA 79, CRG1 2S) fait part de sa nouvelle activité en tant qu'associé au sein de la société L&V Agency spécialisée exclusivement dans la protection des biens et des personnes.- Salon-de-Provence: Baptême dans le vent des hélices pour les élèves commissaires d’ancrage Air
« Depuis quelques semaines déjà une sélection s'opérait parmi les crossmen des services du Commissariat de l'air dans toute la France. Il s'agissait de retenir les meilleurs pour défendre les couleurs de chaque région et de la DCCA au cross annuel du directeur central du Commissariat de l'air.
Don de la promotion ECA 2022 Solférino
Pour la première fois depuis la création de l’AMICAA, une promotion de l’ECA (ancrages Air) a fait un don collectif, accompagné du texte suivant : « En effet, il nous semble important de soutenir l’AMICAA, une association contribuant – entre autres - au rayonnement des commissaires « aviateurs » et qui se montre également très active dans le financement des projets portés par les élèves de l’Ecole des commissaires des armées ». Qu’ils en soient remerciés.A noter que cette promotion (ancrages Air) est également la seconde à être inscrite à l’AMICAA dans son ensemble. « Bon sang ne saurait mentir », comme disait l’autre.
Recherches historiques
Nous recevons de plus en plus de demandes de passionnés d’histoire de l’aviation ou de chercheurs, intéressés par notre site internet, et qui nous questionnent sur des sujets variés, pas toujours de notre compétence, mais qui s’en plaindrait? On ne prête qu’aux riches ! Nous transmettons nos informations ou dirigeons vers d'autres structures.
« Sapristi, où ai-je bien pu archiver mes archives ? »
Parmi ses nombreuses missions statutaires (voir nos statuts sur le site amicaa.fr), l’AMICAA a lancé depuis 2012 des recherches tous azimuts sur l’histoire du commissariat de l’air et des commissaires de l’air.A cette fin, l’amicale interroge souvent les ancien(ne)s commissaires de l’air sur certains sujets sur lesquels les archives manquent. Ces demandes imposent généralement à ces derniers(ères) un effort de mémoire voire de longues et patientes recherches dans leurs archives personnelles. Ce qui vaut parfois au demandeur (le secrétaire général de ladite association) de recevoir des réponses assez singulières, qu’il souhaite partager ici. Voici une illustration, une réponse à une question sur le CATA de Toulouse transmise par un commissaire bien connu des plus anciens, qui publiait alors des chroniques dans le BLCA sous le pseudonyme de Jihel, où l’humour n’était pas absent. La tonalité du texte suivant le confirme.
Sur l’identité du rédacteur, qu’on nous pardonne, nous continuons à préserver son anonymat.
« Mon cher « Primault/75 » (!*),
« Fin 1992, alors que je participais à l’opération Aconit (Provide Comfort II, opération visant à protéger les populations kurdes du Nord de l’Irak), je m’interrogeais – et interrogeais également le gestionnaire (à l’époque, le commissaire-colonel Golfier, sous-directeur organisation-personnel à la direction centrale du commissariat de l’air, qui avait été mon directeur à l’école du commissariat de l’air) – sur ma future affectation.