Le samedi 20 octobre 2012, sept commissaires de la promotion 58 : C.Macquignon, P. Andrieux, B.Bonnet, J.Vaissade, B.D'Antin, J.Lavabre et J.Guillerm se sont retrouvés autour d'une bonne table à Gradignan. J.Lavabre, le régional de l'étape, avait choisi un établissement dont le nom était prometteur « Le Domaine des Tentations ». Nous nous laissâmes tenter et le résultat fut honorable.
Que dire de ce genre de rencontre ?
- l'évocation du passé mais sans nostalgie excessive.
- le rappel des hauts faits d'armes de cette promotion un peu anarchiste qui, en seconde année à Aix-en-Provence, avait demandé à un commandement quelque peu surpris de ne pas
diffuser les notes scolaires afin de ne pas stimuler une concurrence désobligeante entre petits camarades.
- et aussi les problèmes d'actualité du commissariat et de l'armée de l'air.
- l'évocation du passé mais sans nostalgie excessive.
- le rappel des hauts faits d'armes de cette promotion un peu anarchiste qui, en seconde année à Aix-en-Provence, avait demandé à un commandement quelque peu surpris de ne pas
diffuser les notes scolaires afin de ne pas stimuler une concurrence désobligeante entre petits camarades.
- et aussi les problèmes d'actualité du commissariat et de l'armée de l'air.
Au début du repas les deux conditions d'usage avaient été rappelées :
- on ne parle pas de ses maladies,
- on ne parle pas de politique.
Le contrat fut à peu près tenu.
L'après midi, le bon camarade J.Lavabre fit faire en voiture aux trois parisiens, une visite guidée des quais de Bordeaux magnifiquement rénovés, notamment la place de la Bourse,avec un aperçu du tablier et des piles du futur pont Chaban-Delmas, impressionnante réalisation du génie civil et enfin un vestige de la deuxième guerre mondiale, la base sous-marine construite par les allemands pour abriter leurs squales qui surveillaient le golfe de Gascogne. D'Antin et J.Vaissade suivirent le même chemin en discutant bien sûr de leur sujet favori: la sylviculture.
Retour pour tout le monde à la gare Saint-Jean sous une pluie battante, mais comme on dit à Bordeaux « Il faut savoir mettre de l'eau dans le vin ».
Bref, des retrouvailles amicales, avec un coup de fil à F.Monjoin qui n'avait pu se joindre à nous. Si quelques carcasses se sont tassées, l'esprit est toujours là...ah l'esprit!!!
L'élève de semaine
